Déroulement de la manifestation

 

programme - participants - accueil des partcipants - conférence - présentation des écoles - workshop - convivialité - aménagement de l'école

 

 

Programme :

 

Participants :

Participants au workshop :
• ENSA Toulouse : Méryl Ilari, Rémi Jalade, Pascal Deletage, Mathieu Le Ny, Michaël Vincent
• ENSA Marseille : Nicolas Blanc, Jonathan Cacchia, Renaud Carasso, Louis Mejean, Yannick Martin
• ENSA Strasbourg : Marie Chaufer, Louisiane Desbrosses, Marion Kauffmann, Victor Lasch, Aymeric Olry
• ENSA Nantes : Fabien Bidaut, Pierre-Edern Brulé, Vincent Desclaux, François Lebeurrier, Thimothée Raison
• ENSA Lyon : Walid Boubaker, Julien Favreau, Claude Lucaschi, Nathalie Manent
• INSA Strasbourg : Anna Costes, Amélie Creac'h, Vanessa Matsushita, Jose Miguel Cabrera Villegas, Frédéric Vincent

Etudiants de l’ENSA Toulouse organisateurs :
Sonia Boudie, Adrien Cazalis, Mélanie Chilié, François Chopin, Benoit Crépellière, Magalie Cypière, Aurélie Fabre, Florence Garros, Cécile Gayraud, Maxime Gil, Nadia Guillon, Ilona Kamensky, Stéphanie Lambert, Goulven Omnes, Lucas Trenec

Avec le soutien des associations étudiantes de l’ENSA Toulouse
• Dédale : Etienne Mainguéné
• Dynam’eat : Benoît Anel, Céline Bouquet, René-Paul Croquet, Claire Jeanson, Marianne Perissinotto, Fanny Roy

Couverture médiatique assurée par Arch[i]mages (association étudiante de l’ENSA Marseille):
Anthony Abaziou ; Antoine Guyon, Jonathan Tourtois

Animations graphiques et musicales assurées par :
Vincent Candau, Vincent Prunonosa, Maxime Béaur et Frédéric ….
et le groupe de musique de l'école : Alison et Romain-chant,Chloé-alto, Fanny-saxo, Anaïs-clarinette, Etienne-trompette, Thomas-trombone, Maxime-batterie, Vincent et Adrien-guitarre, Damien-caron, Claire-basse.

 

 

Accueil des participants

Les étudiants ont été accueillis à l’ENSAT ou à la gare de Toulouse le jeudi 18 mai. Les transports ont été subventionnés par leurs écoles respectives. Chaque étudiant a reçu à son arrivée un « kit d’accueil » comprenant un plan de Toulouse, un plan du réseau de transport urbain et un guide regroupant le programme du rassemblement, les numéros de téléphones utiles, les modalités pratiques, etc.

Un badge et un tee-shirt a également été offert à tous les participants et organisateurs.

• 12h : arrivée des étudiants de l’ENSA Lyon qui ont ensuite participé au tournoi de badminton organisé par l’association sportive de l’ENSAT (… et ils ont gagné !)
• 17h : arrivée des étudiants de l’ENSA Nantes et l’ENSA Marseille
18h-20h : visite du centre-ville de Toulouse par M. Weidknnet, enseignant à l’ENSAT
• 22h : arrivée des étudiants des ENSA et INSA Strasbourg

La soirée n’était pas organisée mais la plupart des étudiants des différentes ENSA se sont rassemblés sur les quais de la Daurade pour commencer à faire connaissance.

Les étudiants n’ayant pas de connaissances pouvant les loger à Toulouse ont été hébergés chez des étudiants en architecture toulousains. Tous ont semblés satisfaits de ce système.

 

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Conférence

Le rassemblement a débuté par une conférence de M. Malebranche, ancien enseignant à l’ENSAT et collaborateur de M. Candilis pour la réalisation de l’Ecole d’Architecture de Toulouse (livrée en 1973). La conférence était également animée par M. Ringon, enseignant et chercheur à l’ENSAT. La conférence, intitulée « Genèse d’une école d’architecture », a permis d’aborder le thème de l’utopie d’un lieu de formation au métier d’architecte. En effet, la conception du bâtiment s’inscrivait dans une volonté de réaction à l’enseignement et à la pratique de l’architecture classique, au cœur du nouveau quartier du Mirail.

 

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Présentation des écoles

Chaque ENSA participante devait préparer une à deux planches en format A1 (couleur possible) présentant succinctement leur école sous les quatre aspects suivants :

• Le rapport à la ville
• Les conditions matérielles
• La pédagogie
• La vie associative

Ces planches pouvaient également aborder un ou plusieurs thèmes supplémentaires en rapport avec les spécificités de l’école présentée.

Ce moment de la rencontre a suscité un grand intérêt autant chez les étudiants représentants les six écoles que chez les non participants. « En quoi l’école de Marseille était-elle mieux que la mienne ? Au moins à Lyon ils ont un atelier pour travailler à l’échelle 1 ! Ha ouais ?! Dans mon école, il n’y a même pas de K’fet ! » Ce fut à nouveau l’occasion d’un véritable échange, toujours dans la bonne humeur. En effet, chaque étudiant pouvait prendre la parole et les critiques étaient libres et souvent drôles. Les conditions fixées au préalable pour la présentation des établissements ont assuré la pertinence des commentaires.

Cet échange prend un intérêt tout particulier pour celles et ceux qui désirent enrichir leur formation en poursuivant leur cursus dans d’autres écoles.

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Workshop

Il s’est déroulé en continu du vendredi midi au samedi midi. L'école était donc investie tout au long du week-end, avec une solution de couchage sur place (lits de camp emprunté à un centre aéré).

Les équipes étaient composées de trois à quatre étudiants venant d’écoles différentes. Elles ont été déterminées par tirage au sort et communiquées le vendredi 19 mai vers midi.

La question posée est « Quelle serait l’école d’architecture idéale ? ».

Deux aspects devaient être traités :

• Le rapport à la ville : une école d’architecture doit elle être située
o en centre-ville : proximité avec le patrimoine urbain, accès facile avec les transports en commun, etc.
o en banlieue : relation directe avec des constructions modernes et des problèmes de société auxquels les futurs architectes devront se confronter. insécurité ? accessibilité ?
o en rase campagne : plus grande liberté ?
o une école mobile ?

• Les locaux en fonction des usages : quels enseignements devraient avoir un étudiant en architecture ? De quels locaux devrait-il alors disposer ? idem pour la vie associative, etc.

Des documents servant de base ont été fournis notamment quelques sites (plan masse, coupes, historique, photos, etc.) relatifs à des configurations variées (par exemple : extension de l’école de Toulouse actuelle, parcelle en centre-ville en réhabilitation, site en rase campagne, etc.) et des éléments de programme.

Il s’agissait surtout d’avoir une réflexion commune sur les attentes d’une école d’architecture dans un cadre très libre. Les participants ont alors vraiment eu le sentiment de faire de l’architecture pour le plaisir !

Au cours de ces 24h d’atelier, chaque équipe a réalisé une planche sur un thème particulier lié à « l’école d’architecture idéale », de façon plus ou moins conceptuelle. Certains développèrent des schémas abstraits tandis que d’autres s’appuyèrent sur des méthodes de représentation classique. Nous tenons à remercier M. Marcato et M. Minvielle, enseignants à l’ENSAT, pour avoir fait bénéficier les participants de leurs conseils.

Les travaux ont été présentés le samedi 20 mai à 18h devant M. Minvielle, M. Painvin et M. Raymond, enseignants à l’ENSAT, qui ont apporté leurs commentaires, ainsi que de nombreux étudiants de l’ENSAT. Il n’y a pas eu de classement en raison de l’hétérogénéité des travaux mais surtout pour préserver la démarche utopiste du projet des effets pernicieux de la concurrence.

Ces travaux ont été exposés du 22 mai au 8 juin à l’ENSAT. Il pourrait être envisagé d’en faire une exposition itinérante si l’on accompagne les planches d’un texte explicatif.

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Convivialité

Il était important de créer une ambiance non seulement studieuse mais aussi conviviale. Ainsi, le groupe de musique de l’ENSAT a donné un concert avant le lancement du workshop, une exposition de photo a été organisée par le club photo de l’ENSAT, une fresque a été réalisée le vendredi après-midi, dans le patio autour duquel les tables de travail étaient installées et enfin, Frédéric … a mixé de la musique pendant la nuit. Les repas, assurés par la cafétéria, ont également constitué des moments de partage dans la bonne humeur générale. Certains ont également investie la pelouse de l’école pour y faire un match de rugby et décompresser après une nuit blanche de travail.

Enfin, le rassemblement s’est terminé par une soirée video-electro animée par le collectif « snips », composé de personnes venant de l’école des beaux-arts. Celle-ci s’est déroulée dans une brasserie en centre-ville et a été organisée par l’association de l’ENSAT Dynam’eat (les bénéfices de la soirée sont donc revenus à l’association). Cette soirée a permis aux étudiants de décompresser après 24h de travail et de finir le week-end dans un cadre très festif.

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Plan de l'école pendant le rassemblement

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